Les idées d'L

Le Balsa, arbre d'Amérique tropicale de la famille des bombacacées. Le balsa peut mesurer de 18 à 21 m de hauteur. Le bois de balsa pèse de 95 à 130 kg/m3 et est plus léger et plus solide que le liège. Sa couleur rappelle celle du bois du pin blanc. Le balsa est utilisé depuis très longtemps, essentiellement en Amérique du Sud, pour la construction des bateaux et des radeaux. On l'utilise également pour fabriquer des flotteurs de gilets de sauvetage, des planches de surf et des modèles réduits d'avion. Il sert aussi comme isolant sonore et pour atténuer les vibrations dans les cabines d'avion. Le balsa est utilisé pour l'isolation des réfrigérateurs et dans les cales de bateaux en raison de ses propriétés d'isolant thermique.

Classification : le balsa appartient à la famille des Bombacacées. Il a pour nom latin Ochroma lagopus.[1]

Pourquoi je vous parle du balsa ?

C’est ce bois qui nous sert à fabriquer les moulins à café, les jouets, les meubles, les manches d’outils .

On peut le découper au cutter, aux ciseaux sans aucun probléme, Le poncer avec une lime en carton, le peindre, le teindre.

[1]"Balsa", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © 1993-1997 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

Les idées  d’L   

Des miniatures, des miniatures et toujours des miniatures réunies autour des vitrines de Christelle et des maisons de Nathalie. Preuve de notre enthousiasme et de notre créativité, des dizaines de petits objets à découvrir pour décorer vos crèches, pour offrir, pour meubler vos maisons de poupées.

C’est avec joie que nous vous invitons à notre première exposition,

le samedi 15 octobre 2005 de 13h00 à 18h00

à Raphèle les Arles 13280

Plus de renseignements par mail : ccm.lacoste@wanadoo.fr.

Et pour nous retrouver ………..toujours sur le net

http://stores.ebay.fr/Les-idees-dL 

http://christhalie.canalblog.com/

Une grande partie du plaisir éprouvé lors de la dégustation d’un vin réside dans l’appréciation de son arôme. C’est pourquoi on hume le vin avant de le déguster. Laisser le vin un moment en bouche, au contact des papilles gustatives, amplifie la perception de ses qualités. L’arrière-goût est un facteur que les connaisseurs prennent en compte.

Marier un vin et un plat est un art sur lequel rien ne peut être avancé avec une réelle certitude. Une approche originale plutôt que conventionnelle peut être la plus gratifiante. Certaines règles demandent cependant à être respectées. En général, les produits de la mer se mangent accompagnés d’un vin blanc : sec avec les coquillages, les crustacés et le poisson grillé, moelleux avec le poisson en sauce. Les viandes nécessitent un vin rouge ou rosé : rouge jeune ou rosé avec les charcuteries!; rouge fin ou bon rosé avec la viande blanche!; rouge jeune avec une viande rouge grillée, plus vieux si elle est rôtie!; rouge puissant avec le gibier. Avec le fromage se déguste un vin de même terroir. Les desserts s’apprécient avec un vin liquoreux ou un champagne.[1]

La dégustation permet, dans un premier temps, de connaître grossièrement la composition chimique du vin : un grand nombre de molécules carbonées comme des sucres, des alcools, des acides, des polyphénols ou des composés aromatiques confèrent en effet à chaque vin un goût particulier. Elle permet ensuite de différencier et de reconnaître les vins, et enfin de préciser leur qualité et de prévoir, dans une certaine mesure, la façon dont ils vieilliront.

Les propriétés organoleptiques (toutes les propriétés mettant en jeu des récepteurs sensoriels) définissent l’ensemble des caractéristiques sensitives, visuelles et olfactives du vin. L’examen visuel, toujours réalisé en premier, définit la couleur, la limpidité, la brillance (la propriété de jeter des éclats), la fluidité et le dégagement gazeux d’un vin. Son examen olfactif peut se faire soit directement en respirant l’odeur du vin que l’on remue doucement dans le verre (ce qui libère les substances odoriférantes), soit indirectement, lorsque le vin est en bouche, par voie rétronasale (d’autres arômes sont alors libérés). Enfin, l’examen gustatif permet de reconnaître un grand nombre de goûts très différents aux composantes sucrées, salées, acides ou amères, tout en mettant en jeu des sensations tactiles (car la langue est également un organe du toucher), thermiques et chimiques. Le goût du vin perçu après l’avoir recraché apporte également des informations sur sa qualité.

Par la suite, une synthèse des différentes sensations permet, en principe, d’évaluer le vin. Un vocabulaire riche et précis en exprime les couleurs, les odeurs, les arômes et le goût. On parlera ainsi d’un vin jaune doré, limpide mais visqueux, et tranquille : il s’agit alors d’un vin blanc qui ne contient ni trouble perceptible ni gaz. Les sensations olfactives détectent un parfum floral, fruité, de fruits secs, végétal, animal, épicé, empyreumatique (saveurs dégagées par une importante chaleur) ou de torréfaction. Les perceptions gustatives sont groupées en quatre grandes familles : acidité, moelleux, astringence et perception de la présence d’alcool.[2]

[1]"Vin", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © 1993-1997 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

[2]"Œnologie", Encyclopédie® Microsoft® Encarta 98. © 1993-1997 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

Je ne dois pas copié sur ma voisine. copier

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Voici quelques photos que les responsables de l’association « Espace Mémoire Lorraine 1939-1945 » me donnent l’autorisation de mettre sur le blog. Je les en remercie.

Il y a quelques mois, ils nous commandaient des miniatures pour mettre en scène des figurines. Ces figurines appartiennent à Monsieur Jérôme Leclerc qui les destine au futur musée de Bainville aux miroirs en Meurthe et Moselle, qui sera un centre de mémoire de la seconde guerre mondiale. La campagne de Lorraine s’est soldée par près de 18000 morts.

Nous avons participés modestement en fabriquant les pains, la caisse de mirabelles, les bouteilles d’alcool de mirabelles, les fruits et les croissants, ainsi que le gâteau.

Stéphanie fait des vitrines. Nul doute qu’elles sont très jolies mais elle nous a confié «  être nulle en pâte fimo ». Il y a quelques semaines par mail, elle nous demandait si nous pouvions faire des cigales miniatures pour une vitrine sur le thème du magasin de souvenirs provençaux. Nous avions répondu OK sans trop savoir ce que nous allions faire. Par chance, les voisins de Christelle en ont une juste au-dessus de la porte d’entrée et je suis allée, telle une espionne la photographier à la nuit tombante. Bref, en une soirée, le tour était joué et les cigales terminées.

C’est Christelle qui s’est lancé dans la fabrication de la tronçonneuse et du bidon qui trouveront une place  dans une vitrine évoquant les bûcherons. Le résultat est parfait.

Bonne chance à Stéphanie pour la réalisation de ses vitrines.

Chaque vendredi soir depuis le printemps je me rends aux jardins de Cidamos chez Benoît et Martine Hertz. Pourquoi ? Ils sont producteur de légumes et font partis de l’AMAP ( association pour le maintien d’une agriculture paysanne). Nous sommes donc un groupe de consommateurs partenaire d’un exploitant. En nous engageant mutuellement, ils ont la garantie de revenus et l’assurance d’écouler leurs productions, nous recevons en échange des produits de qualité, de grande fraîcheur, et de saison. La composition et la quantité du panier sont indiquées sur un tableau et c’est nous qui remplissons nos cageots en suivant les indications. Le panier est composé d’environ une douzaine de produits différents pour un poids moyen de 5 à 7 kilos et un coût de 18 € en hiver et de 20 € en été. Généralement on s’engage pour une saison. Les produits ne sont pas bio mais soucieux d’offrir des produits de qualité, convaincu de garder une terre écologiquement propre, l’exploitant n’utilise aucun pesticide synthétique, herbicide ou fertilisant contribuant ainsi à la sauvegarde de l’environnement. L’adhésion est un pacte de solidarité car les risques dus aux aléas climatiques sont partagés. Les productions sont suffisamment diversifiées pour que l’abondance des unes compense la pénurie des autres. Il y avait les vendredis d’avant Cidamos avec la corvée de supermarché et son lot d’achats qu’on met sans les regarder dans le caddie et les fruits et légumes bien calibrés et sans odeur tassés dans des sacs plastiques qui les font suer. Un vendredi, je suis venue retrouver une amie qui m’avait parlé avec délice et couleur de sa nouvelle expérience…. Alors il y a eu les nouveaux vendredis soir, les vendredis d’après Cidamos. Tout d’abord, pour y venir, c’est déjà du bonheur. Pas de bouchon sur le rond-point de Fourchon, pas de feu tricolore mais un petit bout de route sinueuse entre Raphèle les Arles et Fontvieille avec en toile de fond les alpilles. Et pourquoi pas une petite halte à l’aqueduc romain ( Pacôme, le teckel commence à y prendre goût). A mon arrivée, un bonjour lancé à la cantonade. Quelques avis fusent sur la dernière recette, le goût singulier des fraises, les poivrons jaunes qui sont tellement savoureux et les aubergines blanches dont on ne sait pas bien quoi en faire. Un regard au panneau et dans mon cageot, je commence à disposer les courgettes, les aubergines, les melons, les carottes, les fraises, les concombres, le basilic, la verveine, le persil. Jamais tomates n’ont été aussi choyées. Mais ce n’est pas fini. A la maison, la soirée plateau- télé du vendredi soir n’existe plus. Il faut que je m’occupe tout de suite d’effeuiller la verveine qui exalte ses arômes citronnés dans la cuisine, de préparer les fraises pour tout de suite ( elles vont nous manquer). Ma fille dévore des yeux ses tomates vertes qu’elle assaisonne d’un simple filet d’huile d’olive et de fleur de sel de Camargue et qu’elle recouvre de quelques rondelles de concombre et copeaux de parmesan. De mon coté, je prépare une moussaka pour nos invités du lendemain. Elle n’en sera que meilleure réchauffée. Pour finir, j’ effeuille le persil, le basilic ou l’estragon que je congèle à peine ciselé, tout de suite en pleine fraîcheur. Il fait nuit, j’ai fini. Sur la table, s’amoncellent les branches et les épluchures que je déposerais sur le compost. Vraiment les jardins de Cidamos, ça vous change un vendredi soir. Voici nos légumes mais ceux-la sont miniatures et en fimo

Des miniatures, des miniatures et toujours des miniatures réunies autour des vitrines de Christelle et des maisons de Nathalie. Preuve de notre enthousiasme et de notre créativité, des dizaines de petits objets à découvrir pour décorer vos crèches, pour offrir, pour meubler vos maisons de poupées.

La plupart des miniatures présentées aujourd’hui sont réalisées par nous. Nous utilisons principalement des pâtes fimo, du balsa. C’est un travail à quatre mains qui nécessite des heures de patience, des tonnes d’idées et parfois même le doute. Mais le résultat semble vous plaire alors nous continuons.

Nous pouvons réaliser des vitrines sur mesure, des petites maisons sur différents thèmes. N’hésitez pas à nous contacter par mail.

Le monde de la petite enfance nous passionne. Nous sommes toutes les deux des mamans.

Christelle, maman pour la deuxième fois il y a quelques mois. Deux enfants 7 ans pour l’une et 6 mois pour l’un. Vous l’aurez compris une fille coquine qui s’intéresse déjà à la pâte fimo  et un petit mec très rigolo qui pour l’instant est captivé par ses pieds qu’il voudrait bien manger.

Moi, sortie des couches, biberon et nuit blanche depuis longtemps avec un grand de 19 ans qui s’est envolé de la maison mais vole de mieux en mieux et une jeune fille de 13 ans, tantôt mon miroir, tantôt une étrangère. Normal 13 ans…

Ils sont notre eau de vie que nous consommons sans modération, nos sources vives et parfois torrents déchaînés.

Dans la journée, je suis l’assistante maternelle de trois petits. Je joue et j’éduque, je les éveille et les surveille, je cajole et je console, j’encourage… Christelle est en congé parentale...

Pas étonnant  de trouver des lots BB, des jouets dans nos miniatures…

L’aventure avait commencé un peu par hasard, insidieusement. Chacune de notre coté,  Christelle s’essayant  à la  réalisation de ses premières vitrines et moi  cousant  mes premières maisons en tissu. Nous achetions les miniatures nécessaires à leurs décorations. Puis nous nous sommes essayées à modeler quelques légumes, quelques fruits en pâte fimo, à découper et à coller du balsa pour en faire des objets, Nos têtes foisonnaient d’idées mais le bois nous résistait, la pâte fimo plus encore parfois. Nos doigts ne savaient pas, pire nos doigts ne voulaient pas

Du temps, c’est ce qu’il nous fallait… le tableau d’imprimeur rempli de miniatures, coincé entre deux tables sur les petites expos locales et autres marchés de Noël  perdus au fin fond de la Provence, est vite devenu trop petit.

Du temps, c’est ce qu’il nous fallait….Nous avions envie de faire connaître nos miniatures surtout celles que l’on ne trouve pas en magasin et dont nous avions la primeur. C’est un site de vente en ligne qui nous a permis de constater que l’éventail de nos miniatures était conséquent et que nous avions vraiment progressé.

Du temps, c’est ce qu’il nous fallait….. Pour rêver,  nous aussi d’avoir notre site perso et enfin sauter le pas.

Sous le soleil arlésien, devant les paysages changeants de la Crau dont la réputation de son foin n’est plus à faire….. Comme l’éphéméride au quotidien, comme l’almanach au fil des mois, comme le calendrier qui raconte les moments forts de l’année, nous sommes heureuses de vous accueillir pour cette promenade.